Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

L’art de perdre – 1er jourNom de l'événement :

Com­ment faire res­sur­gir un pays du silence ?

L’ Art de perdre d’Alice Zeni­ter, événement littéraire en 2017 et prix Gon­court des lycéens, tisse une fresque sur trois générations, entre l’Algérie et la France, rem­plie de non-dits. Au centre de la saga, le per­son­nage de Naïma, tren­te­naire qui inter­roge ses racines dont per­sonne ne semble vou­loir lui par­ler : la Guerre d’Algérie, l’exil, le silence. À tra­vers cette quête et cette plongée dans la mémoire fami­liale, l’autrice inter­roge la notion de tran­mis­sion : que veut dire trans­mettre un pays, une culture, une langue, une his­toire faite de silences ? L’adaptation de Sabri­na Kou­rough­li, comédienne et met­teuse en scène, se centre sur le per­son­nage de Naïma. Pour recons­ti­tuer le puzzle de l’histoire fami­liale, elle inter­roge sa grand-mère et convoque le fantôme de son grand-père, por­teur de la mémoire du passé. Un spec­tacle où se raconte la nécessité de la trans­mis­sion pour construire son iden­tité, avec humour et délicatesse.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

L’art de perdre – 2e jourNom de l'événement :

Com­ment faire res­sur­gir un pays du silence ?

L’ Art de perdre d’Alice Zeni­ter, événement littéraire en 2017 et prix Gon­court des lycéens, tisse une fresque sur trois générations, entre l’Algérie et la France, rem­plie de non-dits. Au centre de la saga, le per­son­nage de Naïma, tren­te­naire qui inter­roge ses racines dont per­sonne ne semble vou­loir lui par­ler : la Guerre d’Algérie, l’exil, le silence. À tra­vers cette quête et cette plongée dans la mémoire fami­liale, l’autrice inter­roge la notion de tran­mis­sion : que veut dire trans­mettre un pays, une culture, une langue, une his­toire faite de silences ? L’adaptation de Sabri­na Kou­rough­li, comédienne et met­teuse en scène, se centre sur le per­son­nage de Naïma. Pour recons­ti­tuer le puzzle de l’histoire fami­liale, elle inter­roge sa grand-mère et convoque le fantôme de son grand-père, por­teur de la mémoire du passé. Un spec­tacle où se raconte la nécessité de la trans­mis­sion pour construire son iden­tité, avec humour et délicatesse.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – Séance ‑15hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – Séance – 17hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – Séance 17hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – Séance 19hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – 19hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – 17hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – 15hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

À vous les studios – Séance – 19hNom de l'événement :

Une course cycliste pour deux com­men­ta­trices et quatre moni­teurs à tube cathodique.

Au pre­mier plan, quatre écrans télé du siècle der­nier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de stu­dio, pour fil­mer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la com­pa­gnie les Mal­adroits com­pose une course cycliste où l’ab­surde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fan­tas­tique, chute et défaite : on par­tage l’exal­ta­tion des com­men­ta­trices devant la dernière course d’un spor­tif his­to­rique. Le cyclisme, c’est le sport où l’in­di­vi­du compte autant que le col­lec­tif, du pelo­ton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une mani­fes­ta­tion spor­tive sur laquelle les Mal­adroits portent leur regard sociétal et poli­tique, avec humour. C’est la recons­ti­tu­tion du sport à la télévision, presque comme à la maison.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Cœur avec les doigts – 1er jourNom de l'événement :

Des rubans qui tour­noient et des papillons dans le ventre : est-ce que c’est ça l’amour ?

Dans un espace blanc, irisé et enve­lop­pant, quatre cama­rades en quête de sens fouillent dans leurs expériences de vie et se racontent leur rap­port à l’amour. D’où vient leur envie irrépressible d’aimer ? Com­ment sor­tir du roman­tisme siru­peux ? Y a‑t-il une différence entre l’amour et l’amitié ? Com­ment bien se séparer ?Et fina­le­ment com­ment aimer mieux ? La bri­gade arc-en-ciel par­tage ain­si ses inter­ro­ga­tions et ses résolutions pour lais­ser émerger les mystérieuses amoures plu­rielles. Avec cette nou­velle création dont les pre­miers pas ont eu lieu en résidence à l’école Liberté de Québriac, Enora Boëlle revient au Théâtre de Poche en bande pour par­ler d’amour. Avec notam­ment Hélène Ber­trand, membre de la com­pa­gnie 52 Hertz, associée au Théâtre de Poche.

Type de public : AdoTout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Cœur avec les doigts – 2e jourNom de l'événement :

Des rubans qui tour­noient et des papillons dans le ventre : est-ce que c’est ça l’amour ?

Dans un espace blanc, irisé et enve­lop­pant, quatre cama­rades en quête de sens fouillent dans leurs expériences de vie et se racontent leur rap­port à l’amour. D’où vient leur envie irrépressible d’aimer ? Com­ment sor­tir du roman­tisme siru­peux ? Y a‑t-il une différence entre l’amour et l’amitié ? Com­ment bien se séparer ?Et fina­le­ment com­ment aimer mieux ? La bri­gade arc-en-ciel par­tage ain­si ses inter­ro­ga­tions et ses résolutions pour lais­ser émerger les mystérieuses amoures plu­rielles. Avec cette nou­velle création dont les pre­miers pas ont eu lieu en résidence à l’école Liberté de Québriac, Enora Boëlle revient au Théâtre de Poche en bande pour par­ler d’amour. Avec notam­ment Hélène Ber­trand, membre de la com­pa­gnie 52 Hertz, associée au Théâtre de Poche.

Type de public : AdoTout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Temps de baleine – 15hNom de l'événement :

Une « météodanse » bur­lesque et poétique pour prendre la température de nos humeurs.

Avec ce solo autour du chan­ge­ment cli­ma­tique, Jonas Chéreau ima­gine une étude météorologique dansée, où chaque mou­ve­ment enclenche le sui­vant dans une réaction en chaîne bur­lesque. Temps de Baleine est pensé comme une poésie que l’on peut lire dans un sens ou dans un autre. Les mots abordent les rela­tions entre­te­nues entre le ciel et la danse, tan­dis qu’avec sa « météodanse », l’artiste s’amuse à relier les états intérieurs, les émotions, à ceux de l’extérieur. En équilibre entre abs­trac­tion et fic­tion, magie et contem­pla­tion, le dan­seur pose cette ques­tion moins simple qu’il n’y paraît : c’est quoi le problème avec le cli­mat ? Ludique et ambi­gu, ce corps‑écosystème s’ouvre comme les pages d’un livre et donne à voir d’insaisissables phénomènes météorologiques. À dos de baleine, par-delà les vagues et les tempêtes, Jonas Chéreau emmène les enfants – et les adultes – là où les mots ne peuvent pas aller.

Type de public : EnfantTout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Temps de baleine – 19hNom de l'événement :

Une « météodanse » bur­lesque et poétique pour prendre la température de nos humeurs.

Avec ce solo autour du chan­ge­ment cli­ma­tique, Jonas Chéreau ima­gine une étude météorologique dansée, où chaque mou­ve­ment enclenche le sui­vant dans une réaction en chaîne bur­lesque. Temps de Baleine est pensé comme une poésie que l’on peut lire dans un sens ou dans un autre. Les mots abordent les rela­tions entre­te­nues entre le ciel et la danse, tan­dis qu’avec sa « météodanse », l’artiste s’amuse à relier les états intérieurs, les émotions, à ceux de l’extérieur. En équilibre entre abs­trac­tion et fic­tion, magie et contem­pla­tion, le dan­seur pose cette ques­tion moins simple qu’il n’y paraît : c’est quoi le problème avec le cli­mat ? Ludique et ambi­gu, ce corps‑écosystème s’ouvre comme les pages d’un livre et donne à voir d’insaisissables phénomènes météorologiques. À dos de baleine, par-delà les vagues et les tempêtes, Jonas Chéreau emmène les enfants – et les adultes – là où les mots ne peuvent pas aller.

Type de public : EnfantTout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Nos poils – ou comment bien entretenir son jardin – 2e jourNom de l'événement :

Tout ce que vous avez tou­jours vou­lu savoir sur le poil, sans oser le demander.

Nous avons toutes et tous cinq mil­lions de poils sur le corps. Mais com­ment poussent-ils ? À quoi servent-ils ? Est-ce qu’on peut avoir un poil préféré ? Et que faire en cas de poil dans la main ? À l’aide d’une botte de paille, quelques poi­reaux, un ticket de métro, et sur­tout sans power­point, la comédienne conférencière Blanche Rérolle tente de disséquer le poil.

Et de poser une autre ques­tion, plus vaste : com­ment s’affranchir des stéréotypes de genre, de la viri­lité drue à la dou­ceur lisse ? De ses caractéristiques bio­lo­giques à ses dimen­sions intimes, sociales et poli­tiques, une étude du poil, en trois par­ties. Et avec sérieux bien sûr. Parce qu’après tout, pour­quoi pas ?

Type de public : AdoTout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Nos poils – ou comment bien entretenir son jardin – 1er jourNom de l'événement :

Tout ce que vous avez tou­jours vou­lu savoir sur le poil, sans oser le demander.

Nous avons toutes et tous cinq mil­lions de poils sur le corps. Mais com­ment poussent-ils ? À quoi servent-ils ? Est-ce qu’on peut avoir un poil préféré ? Et que faire en cas de poil dans la main ? À l’aide d’une botte de paille, quelques poi­reaux, un ticket de métro, et sur­tout sans power­point, la comédienne conférencière Blanche Rérolle tente de disséquer le poil.

Et de poser une autre ques­tion, plus vaste : com­ment s’affranchir des stéréotypes de genre, de la viri­lité drue à la dou­ceur lisse ? De ses caractéristiques bio­lo­giques à ses dimen­sions intimes, sociales et poli­tiques, une étude du poil, en trois par­ties. Et avec sérieux bien sûr. Parce qu’après tout, pour­quoi pas ?

Type de public : AdoTout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Muesli – 1er jourNom de l'événement :

Une balade visuelle et sonore à tra­vers champs, comme une invi­ta­tion à prendre le temps de repen­ser notre rap­port au vivant.

C’est l’histoire d’un ren­dez-vous, donné par la fille, étudiante, à sa mère. Pour se retrou­ver, cha­cune quitte la ville, tra­verse la zone indus­trielle, marche dans les che­mins creux et à tra­vers champs. Au gré de leurs ren­contres se tisse un récit à plu­sieurs voix, fait de petites anec­dotes, de découvertes et de grandes questions.

Une his­toire de trans­mis­sion entre les êtres et les générations, de doute et de par­tage. Un spec­tacle dans lequel la table du petit-déjeuner devient un pay­sage puis un autre, au gré des mani­pu­la­tions d’objets. Nour­ri de ren­contres avec des agri­cul­trices et des scien­ti­fiques, Mues­li est un voyage immo­bile, tout en dou­ceur et délicatesse.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Muesli – 2e jourNom de l'événement :

Une balade visuelle et sonore à tra­vers champs, comme une invi­ta­tion à prendre le temps de repen­ser notre rap­port au vivant.

C’est l’histoire d’un ren­dez-vous, donné par la fille, étudiante, à sa mère. Pour se retrou­ver, cha­cune quitte la ville, tra­verse la zone indus­trielle, marche dans les che­mins creux et à tra­vers champs. Au gré de leurs ren­contres se tisse un récit à plu­sieurs voix, fait de petites anec­dotes, de découvertes et de grandes questions.

Une his­toire de trans­mis­sion entre les êtres et les générations, de doute et de par­tage. Un spec­tacle dans lequel la table du petit-déjeuner devient un pay­sage puis un autre, au gré des mani­pu­la­tions d’objets. Nour­ri de ren­contres avec des agri­cul­trices et des scien­ti­fiques, Mues­li est un voyage immo­bile, tout en dou­ceur et délicatesse.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Habiter – 1er jourNom de l'événement :

Un mono­logue mor­dant et fan­tasque pour pen­ser les liens entre mode d’habitation et iden­tité de genre.

De jeux de lan­gage en pirouettes ono­ma­to­piques et ana­gram­miques, Pierre Maillet dyna­mite le concept de conférence en don­nant corps et voix au texte écrit par Patri­cia Allio. Il y est ques­tion de pensée queer, ce cou­rant révolutionnaire de la fin du XXe siècle qui vise à défaire une concep­tion nor­ma­tive et natu­ra­liste de la dua­lité des genres, pour pen­ser le caractère mutable et plu­riel de l’identité. S’appuyant sur des exemples empruntés à l’actualité récente comme à l’histoire de l’art, le comédien parle archi­tec­ture, noma­disme, patriar­cat et flui­dité des genres. Cet éloge d’une iden­tité nomade inter et transspéciste ouvre à la considération poli­tique d’un monde sans frontières.

* aver­tis­se­ment : scènes de nudi­té intégrale

Type de public : Adulte
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Habiter – 2e jourNom de l'événement :

Un mono­logue mor­dant et fan­tasque pour pen­ser les liens entre mode d’habitation et iden­tité de genre.

De jeux de lan­gage en pirouettes ono­ma­to­piques et ana­gram­miques, Pierre Maillet dyna­mite le concept de conférence en don­nant corps et voix au texte écrit par Patri­cia Allio. Il y est ques­tion de pensée queer, ce cou­rant révolutionnaire de la fin du XXe siècle qui vise à défaire une concep­tion nor­ma­tive et natu­ra­liste de la dua­lité des genres, pour pen­ser le caractère mutable et plu­riel de l’identité. S’appuyant sur des exemples empruntés à l’actualité récente comme à l’histoire de l’art, le comédien parle archi­tec­ture, noma­disme, patriar­cat et flui­dité des genres. Cet éloge d’une iden­tité nomade inter et transspéciste ouvre à la considération poli­tique d’un monde sans frontières.

* aver­tis­se­ment : scènes de nudi­té intégrale

Type de public : Adulte
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Antres – 1er jourNom de l'événement :

Une chorégraphie pour quatre voix, une écriture col­lec­tive qui chante et danse.

Quatre voix, quatre corps. Par un jeu d’écoute et de regard, quatre artistes inter­agissent, s’accordent, se désaccordent. Quatre per­sonnes cherchent, en des­sous des cer­ti­tudes, si d’autres formes poli­tiques leur per­met­traient de com­mu­ni­quer. Elles parlent d’intelligence par la dis­tance entre leurs regards, par la pos­si­bi­lité du désaccord. Ten­tant de représenter la pos­si­bi­lité du côtoiement, leurs voix chantent en bre­ton, en français ou en italien.
Gestes dis­crets, paroles de main­te­nant, bour­don long et danse spontanée, elles créent des inter­ac­tions dro­la­tiques et sonores. Elles honorent l’altérité, les liens et le ver­na­cu­laire, elles cherchent un « nous », sans définition, un espace de négociation du présent.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Antres – 2e jourNom de l'événement :

Une chorégraphie pour quatre voix, une écriture col­lec­tive qui chante et danse.

Quatre voix, quatre corps. Par un jeu d’écoute et de regard, quatre artistes inter­agissent, s’accordent, se désaccordent. Quatre per­sonnes cherchent, en des­sous des cer­ti­tudes, si d’autres formes poli­tiques leur per­met­traient de com­mu­ni­quer. Elles parlent d’intelligence par la dis­tance entre leurs regards, par la pos­si­bi­lité du désaccord. Ten­tant de représenter la pos­si­bi­lité du côtoiement, leurs voix chantent en bre­ton, en français ou en italien.
Gestes dis­crets, paroles de main­te­nant, bour­don long et danse spontanée, elles créent des inter­ac­tions dro­la­tiques et sonores. Elles honorent l’altérité, les liens et le ver­na­cu­laire, elles cherchent un « nous », sans définition, un espace de négociation du présent.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Le chant du père – 1er jourNom de l'événement :

Une his­toire de filia­tion, de trans­mis­sion, entre un père immigré et sa fille.

Le Chant du père raconte l’histoire d’Hatice Özer, née en France dans une famille turque, deve­nue comédienne et celle de son père, Yavuz Özer, venu d’Anatolie pour tra­vailler dans les années 1980 et offrir un meilleur ave­nir à ses enfants. Elle est volu­bile, lui est tai­seux. Fer­ron­nier et musi­cien hors pair, il joue du saz et chante dans les cafés et les fêtes de la com­mu­nauté turque du Périgord. Ensemble sur scène, en turc ou en français, le père et la fille racontent com­ment l’héritage se trans­forme. Com­ment com­prendre le sacri­fice du père et la dou­leur du déracinement ? Que reste-il des his­toires, de la convi­via­lité, du grand départ, de la poésie ?
Par le théâtre et la musique, Le Chant du père rap­proche délicatement deux êtres, deux générations, raconte des his­toires, chante l’exil, le déracinement, les amours contrariées, l’injustice. Ce n’est pas du théâtre, pas un concert, pas une fête : c’est tout cela à la fois.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Fragiles cognitifs Fragiles cognitifs Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite
Catégorie de l'événement : Culture / Théâtre

Le chant du père – 2e jourNom de l'événement :

Une his­toire de filia­tion, de trans­mis­sion, entre un père immigré et sa fille.

Le Chant du père raconte l’histoire d’Hatice Özer, née en France dans une famille turque, deve­nue comédienne et celle de son père, Yavuz Özer, venu d’Anatolie pour tra­vailler dans les années 1980 et offrir un meilleur ave­nir à ses enfants. Elle est volu­bile, lui est tai­seux. Fer­ron­nier et musi­cien hors pair, il joue du saz et chante dans les cafés et les fêtes de la com­mu­nauté turque du Périgord. Ensemble sur scène, en turc ou en français, le père et la fille racontent com­ment l’héritage se trans­forme. Com­ment com­prendre le sacri­fice du père et la dou­leur du déracinement ? Que reste-il des his­toires, de la convi­via­lité, du grand départ, de la poésie ?
Par le théâtre et la musique, Le Chant du père rap­proche délicatement deux êtres, deux générations, raconte des his­toires, chante l’exil, le déracinement, les amours contrariées, l’injustice. Ce n’est pas du théâtre, pas un concert, pas une fête : c’est tout cela à la fois.

Type de public : Tout public
Accessibilité de l'évenement : Fragiles cognitifs Fragiles cognitifs Personnes à mobilité réduite Personnes à mobilité réduite